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Ferrari remporte la 93e édition des 24 Heures du Mans

Ferrari s’impose lors de la 93e édition des 24 Heures du Mans, quatrième manche du Championnat du Monde d’Endurance FIA (WEC) 2025. La 499P s’affirme encore plus comme la reine de la classique mancelle. Un succès décroché devant 332 000 spectateurs, une affluence record pour l’épreuve.

En 2023, lors de l’édition du Centenaire, Ferrari faisait un retour triomphal aux 24 Heures du Mans, s’imposant 58 ans après sa dernière victoire acquise en 1965 par Masten Gregory et Jochen Rindt sur une 250 LM. L’année suivante, la 499P confirmait sa domination en remportant à nouveau l’épreuve. Ferrari signe une troisième victoire consécutive grâce à la 499P #83 de l’équipe AF Corse, avec Robert Kubica, Yifei Ye et Philip Hanson ; une série exceptionnelle qui consacre définitivement l’excellence du prototype conçu à Maranello. Kubica et Ye sont respectivement les premiers pilotes polonais et chinois à remporter les 24 Heures du Mans.

Un triomphe malgré les difficultés

Lorsque les 62 concurrents de la 93e édition étaient libérés par Roger Federer à 16 heures samedi, c’est Cadillac qui avait l’honneur de mener, avec les deux V-Series.R de l’équipe Hertz Team JOTA (la #12 devant la #38). La première pole position d’un constructeur américain depuis 1967 (avec Ford) n’allait pas se transformer. De cet avantage, rien n’allait découler. Dès le premier passage à la chicane Daytona, Julien Andlauer se débarrassait des « Caddies » et était le premier à se montrer sur la Porsche 963 #5. En tête après une heure de course avec près de six secondes, il créait une vraie surprise tant on s’attendait à voir les Cadillac plus en verve ! Jamais pendant la course elles n’allaient être menaçantes en raison d’une dégradation excessive de leurs pneumatiques.
De son côté, la Porsche 963 #6 – emmenée au départ par Kévin Estre – était promise à une première partie d’épreuve rude. Avec ses temps de qualification annulés (pour non-respect du poids minimum), l’Hypercar partait 21e et allait devoir se défaire de ses opposants pour viser un bon résultat. Estre, habitué à l’exercice et fort de son expérience glanée notamment aux 24 Heures du Nürburgring, affichait un appétit de loup : 7e après 30 minutes, il enchaînait les tours à vive allure en 3’28. Il prenait le commandement de manière éphémère à la faveur d’une consommation maîtrisée, après seulement 1 h 30 de course.
Même la Porsche 963 #4 que se partagaient Felipe Nasr, Nick Tandy et Pascal Wehrlein était dans le rythme, à 1 minute de la tête de course.
Porsche en tête, voilà qui était une surprise tant l’Hypercar déjà victorieuse aux 24 Heures de Daytona et aux 12 Heures de Sebring avait semblé manquer de performance tout au long des essais de la semaine. En revanche, on s’attendait à voir les Cadillac et les BMW aussi à l’aise, mais ce ne fut pas le cas.
Les marques françaises Alpine et Peugeot étaient en proie à des difficultés. Du côté de la marque au A fléché, un manque de grip semblait empêcher les pilotes d’être dans le rythme. Pour les 9X8, toujours décrochées depuis les essais, il était difficile de rouler en dessous des 3’30 et de garder le contact avec le wagon de tête. La première alerte de la course provenait d’ailleurs du Lion : Paul Di Resta sortait au virage Porsche et faisait voler son capot moteur. Il déclenchait la première slow zone.

L’essoufflement des poursuivants

Et si 2025 allait être l’année Porsche ? Tout le laissait penser, peu avant 19 heures, lorsque Laurens Vanthoor (qui avait pris le relai de Kévin Estre sur la #6) prenait l’avantage sur Mathieu Jaminet (qui relayait, lui, Julien Andlauer) grâce à un dépassement par l’extérieur dans le virage Porsche. Une sorte d’aisance, de facilité, se dégageait du clan allemand.
Pourtant, à l’entame de la soirée du samedi, les premiers craquements dans la feuille de route se faisaient jour. Peu après 20 heures, Laurens Vanthoor voyait les 499P fondre sur lui. Il opposait une belle résistance, mais Robert Kubica sur la #83 puis Antonio Giovinazzi sur la #51 prenaient le meilleur, respectivement à Indianapolis et Arnage. La cinquième heure de course s’ouvrait sur un triplé Ferrari !
Dès lors, deux Hypercars seulement répondaient aux trois 499P : la Porsche #6, toujours sur sa dynamique du départ, et la Toyota GR010 Hybrid #8 superbement emmenée par Sébastien Buemi, Brendon Hartley et Ryo Hirakawa. Touchée très tôt par des soucis sur la #7 à la livrée hommage à la GT-One de 1998 (sortie de piste, excès de vitesse dans les stands), la marque japonaise plaçait ses espoirs dans la #8.
La nuit sarthoise allait mettre à mal les certitudes dans toutes les équipes. Le clan Ferrari, si dominateur en début de course, voyait sa marche ralentie par des erreurs en piste. La #51 était la première à chanceler : un excès de vitesse dans la voie des stands coûtait à Antonio Giovinazzi une pénalité de 20 secondes de stop-and-go, avant qu’une crevaison vienne, encore, briser son élan. La #50, elle aussi, perdait du terrain, victime d’une pénalité de cinq secondes pour avoir coupé la chicane Dunlop.
C’est alors que la course basculait. À 3 h 15, la sortie de Cem Bolukbasi (Oreca 07-Gibson #24 Nielsen Racing) au Tertre Rouge provoquait l’intervention de la voiture de sécurité. Le temps perdu par les pénalités accumulées par les 499P n’avait plus d’importance, du fait du regroupement de toutes les Hypercars.
Les écarts glanés en rythme pur fondaient. La course avait débuté sur les chapeaux de roue ; les décrochés voyaient là une occasion de revenir. C’était le cas de Toyota, malmené en début d’épreuve, qui retrouvait ses chances de victoire avec la #8, à laquelle cette intervention permettait de se replacer. La situation profitait aussi à la Porsche #qui tenait le commandement devant la Toyota. Le triplé Ferrari entrevu en début de soirée s’éloignait.

Ferrari, inévitablement

Le jour se levait sur un spectacle inimaginable : les Ferrari #51 et #83 se battaient, comme si les 16 heures de course précédentes n’avaient été qu’un échauffement. James Calado sur la rouge (#51) contre Philip Hanson sur la jaune (#83). Les deux Britanniques séparés par deux secondes, et unis par le même cheval cabré, ferraillaient. Dans la seconde chicane des Hunaudières, James Calado prenait l’avantage d’un mouvement chirurgical, mais la voiture sœur à la couleur de la ville de Modène restait dans son ombre, menaçante.
La Porsche #6, hier si dominatrice, se retrouvait spectatrice de ce duel fratricide. Inéluctablement, et malgré la maestria de Laurens Vanthoor et Kévin Estre, la stratégie décalée de l’écurie allemande ne payait plus. La #6 avait pris l’habitude d’une alternance en tête avec les 499P, selon l’ordre des arrêts (toutes ces Hypercars ne s’arrêtant pas au même moment). Mais le rythme pur parlait pour les Ferrari.
Le clan Porsche vivait des heures compliquées ; les autres 963 étaient sanctionnées pour des erreurs lors des procédures de slow zone, ce qui générait des pénalités.
Nicklas Nielsen, sur la Ferrari #50, harcelait la Toyota de Sébastien Buemi. Deux fois, le Danois pulvérisait le record du tour. Deux fois, le Suisse quadruple vainqueur de l’épreuve résistait. Mais la Ferrari passait grâce à une intervention dans les stands plus rapide. Le triplé, rêvé, se dessinait.
L’aube apportait, aussi, son lot de renaissance derrière la marche italienne. Les Cadillac, endormies dans la chaleur de la veille, se réveillaient enfin. Earl Bamber sur la #38 signait un temps canon en 3’26’’944, le premier à passer sous les 3’27”, pendant que Stevens retrouvait avec la #12 l’allant qui avait valu la pole à son Hypercar. Mais il était déjà trop tard.
Les deux dernières heures étaient intense : Kévin Estre sur la Porsche 963 #6, esseulé entre les trois Ferrari, se battait comme un beau diable. Il cassait un possible triplé. Robert Kubica, Yifei Ye et Philip Hanson s’imposaient devant Kévin Estre, Laurens Vanthoor et Matt Campbell avec 14”084 d’avance.

 

Inter Europol Competition, roi du LMP2

Mathias Beche transformait sa pole position en une démonstration éclatante au départ. L’Oreca de l’équipe TDS Racing #29 s’échappait avec une facilité déconcertante : cinq tours suffisaient au Suisse pour creuser un écart de cinq secondes, pendant que Louis Delétraz, plus incisif que jamais, propulsait « Spike » (#199 AO by TF) en deuxième position.
La chicane Dunlop offrait son premier coup de théâtre : David Heinemeier-Hansson (Oreca 07-Gibson #22 United Autosports) et la Ferrari #193 Ziggo Sport Tempesta rentraient en contact, provoquant une valse synchronisée au milieu de la piste. Par miracle, le peloton évitait la catastrophe. Mais le véritable tournant survenait peu après, quand la #29, jusqu’alors souveraine, voyait ses espoirs s’envoler dans un accrochage avec la #37 de l’équipe CLX Pure Rxcing.
Inter Europol Competition entrait alors en scène. Tom Dillmann, installé aux commandes de la #43, imposait un rythme élevé comme il en a le secret. Son coéquipier Jakub Smiechowski, malgré une boîte de vitesses récalcitrante, maintenait cette domination. Seule la #48 de l’équipe VDS Panis Racing, portée par un Esteban Masson en état de grâce, parvenait à tenir la cadence à une vingtaine de secondes après quatre heures de course.
La nuit sarthoise ne ménageait pas les équipages. La première alerte survenait avec la sortie de la #24 de Nielsen Racing au Tertre Rouge, Cem Bolukbasi s’extrayant de sa voiture après un impact sévère. Dans la foulée, la #16 de l’équipe RLR M Sport, victime d’un accrochage avec la #25 d’Algarve Pro Racing, voyait ses ambitions réduites à néant.
Le coup de grâce venait d’André Lotterer, triple vainqueur de l’épreuve. Sa roue arrière droite se détachait avant la seconde chicane des Hunaudières, et mettait un terme brutal aux espoirs d’IDEC Sport sur la #18. Une déception pour l’Allemand et ses équipiers rookies, Jamie Chadwick et Mathys Jaubert.
À quatre heures du drapeau à damier, le duel entre Inter Europol Competition et VDS Panis Racing tenait toujours ses promesses… et allait trouver une issue à quelques minutes du but. Comme en 2023, Inter Europol Competition s’imposait, la seconde victoire de l’équipe polonaise en Sarthe.
La dernière marche du podium se réglait entre la #9 d’Iron Lynx-Proton et la #199 d’AO by TF à l’avantage de « Spike ». La seconde LMP2 emmenée par IDEC Sport, la #28, longtemps sur le podium, ne voyait pas le damier. Une perte de roue similaire à celle de la voiture sœur stoppait Job Van Uitert dans les S de la Forêt.

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Porsche à nouveau au sommet en LMGT3

Mattia Drudi, impérial dans l’exercice du tour rapide, s’échappait dès le départ sur l’Aston Martin Vantage AMR LMGT3 #27 Heart Of Racing. Dans le même temps, François Heriau (sur la Ferrari #21 Vista AF Corse très en vue) partait en tête-à-queue lors d’un duel musclé avec la Porsche #85 Iron Dames pilotée par Célia Martin.
C’est alors que Valentin Hasse Clot se montrait : l’Aston Martin #10 Racing Spirit of Léman prenait les commandes après un dépassement magistral sur la BMW #46 d’Ahmed Al Harthy dans la ligne droite des Hunaudières.
Valentino Rossi démontrait que son talent ne se limitait pas aux circuits moto. Le “Docteur” se battait et hissait la BMW #46 Team WRT en tête, avant que Le Mans ne frappe : Kelvin van der Linde, son coéquipier, voyait leurs espoirs s’enliser dans les graviers du virage Porsche. La malédiction WRT ne s’arrêtait pas là. La voiture sœur (#31) connaissait une fin aussi improbable que cruelle : un impact avec un lapin à haute vitesse qui forçait l’équipe à multiplier les arrêts avant de jeter l’éponge.
Les Iron Dames vivaient un véritable chemin de croix : leur Porsche #85 se retrouvait prisonnière du bac à graviers après un accrochage avec la Lexus #87 d’Akkodis ASP. Un incident qui provoquait même une figure de l’Alpine #36, surprise par ce ralentissement soudain.
Une hiérarchie presque inattendue se dévoilait avec les premiers rayons du soleil : la Porsche 911 GT3 R LMGT3 #92 Manthey 1ST Phorm imposait un rythme infernal. Même une pénalité pour non-respect des drapeaux jaunes ne perturbait pas sa domination. Elle allait s’imposer. La Ferrari #21 et la Corvette #81 de TF Sport conservaient les places d’honneur.
Les dernières heures offraient un duel épique entre Mattia Drudi (#27) et Jack Hawksworth (#78) pour le gain de la quatrième place, leurs Aston Martin et Lexus se rendant coup pour coup. Un baroud d’honneur pour la seconde, qui finissait par rendre les armes dans les virages Porsche, suspension brisée.

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Rendez-vous du 10 au 14 juin 2026 pour vivre la 94e édition des 24 Heures du Mans !

Top 5 du classement général :
• 1.Ferrari 499P #83 AF Corse – Robert Kubica / Yifei Ye / Philip Hanson
• 2.Porsche 963 #6 Porsche Penske Motorsport – Kévin Estre / Laurens Vanthoor / Matt Campbell
• 3.Ferrari 499P #51 Ferrari-AF Corse – Alessandro Pier Guidi / James Calado / Antonio Giovinazzi
• 4.Ferrari 499P #50 Ferrari-AF Corse – Antonio Fuoco / Nicklas Nielsen / Miguel Molina
• 5.Cadillac V-Series.R #12 Cadillac Hertz Team JOTA – Will Stevens / Norman Nato / Alex Lynn
Les vainqueurs des autres catégories
• LMP2 : Oreca 07-Gibson #43 Inter Europol Competition – Jakub Smiechowski / Tom Dillmann / Nick Yelloly
• LMGT3 : Porsche 911 GT3 R LMGT3 #92 Manthey 1ST Phorm – Ryan Hardwick / Riccardo Pera / Richard Lietz

Les abandons :
• Oreca 07-Gibson #28 IDEC Sport – Paul Lafargue / Job Van Uitert / Sebastian Alvarez, 15 h 12, perte de roue
• Lexus RC F LMGT3 #78 Akkodis ASP Team – Arnold Robin / Jack Hawksworth / Finn Gehrsitz, 11 h 25, sortie de piste
• Cadillac V-Series.R #311 Cadillac Whelen – Jack Aitken / Felipe Drugovich / Frederik Vesti, 08 h 21, direction
• Oreca 07-Gibson #18 IDEC Sport – Jamie Chadwick / Mathys Jaubert / André Lotterer, 07 h 31 perte de roue
• Ferrari 296 LMGT3 #54 Vista AF Corse – Thomas Flohr / Francesco Castellacci / Davide Rigon, capteur de couple
• Cadillac V-Series.R #101 Cadillac WTR – Ricky Taylor / Jordan Taylor / Filipe Albuquerque, 04 h 27, moteur
• Oreca 07-Gibson #24 Nielsen Racing – Naveen Rao / Cem Bolukbasi / Colin Braun (LMP2 Pro/Am), 04 h 00, sortie de piste
• BMW M4 LMGT3 #31 The Bend Team WRT – Yasser Shahin / Timur Boguslavskiy / Augusto Farfus, 03 h 52, panne
• BMW M4 LMGT3 #46 Team WRT – Ahmad Al Harthy / Valentino Rossi / Kelvin Van Der Linde, 03 h 38, problème mécanique
• Mercedes-AMG LMGT3 #60 Iron Lynx – Andrew Gilbert / Fran Rueda / Lorcan Hanafin, 22 h 24, casse moteur
• McLaren 720S LMGT3 Evo #95 United Autosports – Darren Leung / Sean Gelael / Marino Sato, 22 h 23, panne
• Ford Mustang LMGT3 #88 Proton Competition – Stefano Gattuso / Giammarco Levorato / Dennis Olsen, 19 h 53, sortie de piste

Meilleur tour en course : 3’26’’063 Sébastien Bourdais (Cadillac V-Series.R #38 Cadillac Hertz Team JOTA) au 310e tour.

Service Presse ACO.

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24 Heures du Mans – Conférence de presse officielle 2025 de l’ACO

Ce vendredi 13 juin, à la veille de la 93e édition des 24 Heures du Mans, l’Automobile Club de l’Ouest (ACO) a tenu une conférence de presse. Tous les points abordés sont à retrouver ci-dessous.

1 – Point sur les règlements Hypercar et LMP2
• L’ACO et la FIA ont officiellement annoncé la prolongation du règlement Hypercar jusqu’à la fin de la saison 2032, assurant aux constructeurs et aux équipes une visibilité à long terme sans précédent. Autre annonce marquante : Les écuries privées pourront engager des Hypercars en Asian Le Mans Series à partir de la saison 2026/2027. Une évolution stratégique, saluée par les acteurs du plateau, qui permettra d’élargir encore l’accès à la catégorie reine.
• La nouvelle génération de la catégorie LMP2 entrera en vigueur en 2028, avec une vision modernisée et simplifiée. Deux constructeurs châssis ont été retenus : Oreca et Ligier Automotive. Côté motorisation, Gibson Technology a été reconduit comme fournisseur unique. L’objectif : garantir un excellent niveau de performance et de fiabilité tout en maîtrisant les coûts. L’IMSA adoptera également ce règlement dès son entrée en vigueur.

3 – Prolongation de l’alliance stratégique ACO / IMSA

Liés par un partenariat depuis plus d’une décennie, l’ACO et l’IMSA ont annoncé la prolongation de leur alliance stratégique jusqu’en 2032, confirmant leur volonté commune de construire un cadre mondial cohérent. Cette collaboration permet notamment à trois équipes IMSA d’obtenir chaque année une invitation automatique aux 24 Heures du Mans, et à l’événement américain « Motul Petit Le Mans » de conserver sa désignation.

3 – FIA WEC
Le calendrier 2026 du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA a été révélé : huit manches réparties sur quatre continents, consolidant le statut mondial de la discipline.
Par ailleurs, le FIA WEC a obtenu deux reconnaissances majeures :
• la certification ISO 20121, qui valide la gestion responsable des événements ;
• l’accréditation environnementale FIA trois étoiles, plus haut niveau de reconnaissance en matière de durabilité.

4 – Hydrogène
Un partenariat technique entre MissionH24 et Toyota Gazoo Racing a été officialisé, portant sur l’aérodynamique et le refroidissement du prototype H24EVO.
La FIA a confirmé travailler activement avec l’ACO sur la réglementation sécurité spécifique à l’hydrogène, ainsi que sur un équilibre de performance entre les technologies. L’objectif d’introduire une catégorie Hydrogène en compétition avant la fin de la décennie se précise plus que jamais.

5 – RSE
L’ACO a rappelé son engagement en faveur d’une endurance plus responsable, avec plusieurs actions fortes :
• Le Sustainable Endurance Award by DHL, qui a récompensé cette année Ferrari – AF Corse en Hypercar, United Autosport en LMP2 et Porsche Penske Motorsport qui remporte le Prix du Président. Akkodis est de son côté doublement titré, dans la catégorie LMGT3 et avec le Prix du Public.
• L’Impact Challenge, dispositif qui invite les spectateurs à relever plus de 170 missions liées à la responsabilité sociétale depuis l’application 24H Experience.

6 – Le Mans Classic
Dernière annonce, et non des moindres : Le Mans Classic, rendez-vous incontournable des passionnés d’automobile historique, devient un événement annuel à partir de 2026. Par ailleurs, une course support officielle, “Legends of Le Mans”, rejoindra certaines manches du FIA WEC, créant un lien fort entre passé et futur sur les plus beaux circuits du monde.

Rendez-vous demain, à 16 heures, pour le grand départ de la quatrième manche du FIA WEC !

Service Presse ACO.

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Cadillac s’offre l’Hyperpole des 24 Heures du Mans 2025

Le nouveau format de l’Hyperpole des 24 Heures du Mans a sacré Cadillac ! La marque américaine succède à Ferrari et Porsche. Le spectacle promet d’être intense ce samedi entre les huit constructeurs engagés pour cette 93ᵉ édition.

Hypercar : Cadillac V-Series.R #12 Cadillac Hertz Team JOTA – Will Stevens / Norman Nato / Alex Lynn* – 3’23’’166
LMP2 : Oreca 07-Gibson #29 TDS Racing – Rodrigo Sales / Mathias Beche* / Clément Novalak (LMP2 Pro/Am) – 3’35’’062
LMGT3 : Aston Martin Vantage AMR LMGT3 #27 Heart Of Racing – Ian James / Mattia Drudi* / Zacharie Robichon – 3’5’’789

Alex Lynn en Hyperpole
Les deux Cadillac V-Series.R de Cadillac Hertz Team JOTA verrouillent la première ligne à l’issue des deux séances d’Hyperpole. Alex Lynn, sur la #12 (3’23”166), devance son équipier Earl Bamber sur la #38 (3’23’’333). L’émotion d’Alex Lynn à l’arrivée – et de toute son équipe – en disait long sur l’importance de l’exercice.

Il y a 12 mois, le Britannique croyait tenir l’Hyperpole avant d’être battu par Kévin Estre dans les derniers instants.

Surprise, la Toyota GR010 Hybrid #8 de Toyota Gazoo Racing n’a pas réussi à boucler un seul tour chronométré, Sébastien Buemi sortant large à Mulsanne. La seule Ferrari 499P présente (la #50 avec Antonio Fuoco) ne fait pas mieux que septième.

Les dix meilleurs Hypercar à l’issue de l’Hyperpole :
1. Cadillac V-Series.R #12 Cadillac Hertz Team JOTA – Will Stevens / Norman Nato / Alex Lynn – 3’23’’166
2. Cadillac V-Series.R #38 Cadillac Hertz Team JOTA – Earl Bamber / Sébastien Bourdais / Jenson Button – 3’23’’333
3. Porsche 963 #5 Porsche Penske Motorsport – Julien Andlauer / Michael Christensen / Mathieu Jaminet – 3’23’’475
4. BMW M Hybrid V8 #15 BMW M Team WRT – Dries Vanthoor / Raffaele Marciello / Kevin Magnussen – 3’23’’659
5. Porsche 963 #4 Porsche Penske Motorsport – Felipe Nasr / Nick Tandy / Pascal Wehrlein – 3’23’’983
6. BMW M Hybrid V8 #20 BMW M Team WRT – Rene Rast / Robin Frijns / Sheldon van der Linde – 3’24’’009
7. Ferrari 499P #50 Ferrari-AF Corse – Antonio Fuoco / Nicklas Nielsen / Miguel Molina – 3’24’’213
8. Cadillac V-Series.R #311 Cadillac Whelen – Jack Aitken / Felipe Drugovich / Frederik Vesti – 3’24’’380
9. Alpine A424 #36 Alpine Endurance Team – Mick Schumacher / Frédéric Makowiecki / Jules Gounon – 3’24’’398
10. Toyota GR010 Hybrid #8 Toyota Gazoo Racing – Sébastien Buemi / Brendon Hartley / Ryo Hirakawa – Pas de temps

Mathias Beche place TDS idéalement
Huit pilotes avec le même matériel – une Oreca 07 –, c’était l’occasion de briller et de faire parler le talent individuel. Louis Delétraz (Oreca 07-Gibson #14 AO by TF) prend le commandement en 3’36’’442 lors de son premier tour chronométré. Mais Benjamin Hanley (Oreca 07-Gibson #23 United Autosports) l’en dépossède au tour suivant, en 3’35’’459. À distance, après avoir pris le temps de chauffer ses gommes, Tom Dillmann (Oreca 07-Gibson #43 Inter Europol Competition) surprend son monde en 3’35’333. La marque s’abaisse alors que les conditions de piste deviennent plus fraîches… et Mathias Beche (Oreca 07-Gibson #29 TDS) se faufile, 3’35’’062.

Les huit meilleurs LMP2 à l’issue de l’Hyperpole :
1. Oreca 07-Gibson #29 TDS Racing – Rodrigo Sales / Mathias Beche / Clément Novalak (LMP2 Pro/Am) – 3’35’’062
2. Oreca 07-Gibson #43 Inter Europol Competition – Jakub Smiechowski / Tom Dillmann / Nick Yelloly – 3’35’’333
3. Oreca 07-Gibson #14 AO by TF – PJ Hyett / Dane Cameron / Louis Delétraz (LMP2 Pro/Am) – 3’35’’421
4. Oreca 07-Gibson #23 United Autosports – Daniel Schneider / Oliver Jarvis / Benjamin Hanley (LMP2 Pro/Am) – 3’35’’459
5. Oreca 07-Gibson #22 United Autosports – Renger Van Der Zande / Pietro Fittipaldi / David Heinemeier Hansson – 3’35’’615
6. Oreca 07-Gibson #37 Cool Racing – Aliaksandr Malykhin / Tom Blomqvist / Tristan Vautier – 3’36’’184
7. Oreca 07-Gibson #183 AF Corse – François Perrodo / Matthieu Vaxiviere / Antonio Felix Da Costa (LMP2 Pro/Am) – 3’36’’993
8. Oreca 07-Gibson #16 RLR M Sport – Michael Jensen / Ryan Cullen / Patrick Pilet (LMP2 Pro/Am) – 3’38’’922

Le rookie Mattia Drudi en Hyperpole sur le fil
Huit constructeurs différents qualifiés pour l’Hyperpole 2 : le spectacle promettait d’être intense, et il l’a été. Valentino Rossi (BMW M4 LMGT3 #46 Team WRT) a relayé Kelvin Van Der Linde, qui avait roulé en Hyperpole 1, pour prendre la troisième place finale. Sur la première ligne, on retrouve Alessio Rovera (Ferrari 296 LMGT3 #21 Vista AF Corse), derrière l’Hyperpoleman Mattia Drudi (Aston Martin Vantage AMR LMGT3 #27 Heart Of Racing). En 3’52’’789, il bat le 3’55’’263 réalisé l’an passé par Benjamin Barker en qualifications.

Les huit meilleurs LMGT3 à l’issue de l’Hyperpole :
1. Aston Martin Vantage AMR LMGT3 #27 Heart Of Racing – Ian James / Mattia Drudi / Zacharie Robichon – 3’52’’789
2. Ferrari 296 LMGT3 #21 Vista AF Corse – François Heriau / Simon Mann / Alessio Rovera – 3’53’’085
3. BMW M4 LMGT3 #46 Team WRT – Ahmad Al Harthy / Valentino Rossi / Kelvin Van Der Linde – 3’54’’966
4. Mercedes-AMG LMGT3 #61 Iron Lynx – Martin Berry / Lin Hodenius / Maxime Martin – 3’54’’998
5. Porsche 911 GT3 R LMGT3 #92 Manthey 1ST Phorm – Ryan Hardwick / Riccardo Pera / Richard Lietz – 3’55’’140
6. Corvette Z06 LMGT3.R #81 TF Sport – Tom Van Rompuy / Rui Andrade / Charlie Eastwood – 3’55’’740
7. McLaren 720S LMGT3 Evo #95 United Autosports – Darren Leung / Sean Gelael / Marino Sato – 3’55’’965
8. Lexus RC F LMGT3 #78 Akkodis ASP Team – Arnold Robin / Jack Hawksworth / Finn Gehrsitz – 4’03’’660

* Pilote ayant réalisé l’Hyperpole

Service Presse ACO.

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Journée Test 24 Heures du Mans : Toyota Gazoo Racing et Ferrari AF Corse se démarquent

La Journée Test de la 93e édition des 24 Heures du Mans touche à sa fin. Les 62 équipes engagées ont mis à profit ces six heures de roulage pour s’acclimater à la piste mancelle afin de préparer la semaine d’épreuve qui se profile.

Après avoir roulé trois heures ce matin, les concurrents ont repris la piste de 15 h 30 à 18 heures 30, soit trois heures d’essais supplémentaires. Sous un ciel couvert, les voitures ont surtout enchaîné les tours, car l’objectif de cette première journée d’essais est d’accumuler des informations en vue de la course. Cependant, une statistique amusante prouve qu’elle est tout de même significative. Sur les six dernières éditions, la voiture qui a terminé en tête de la Journée Test n’a jamais fini au-delà de la quatrième place en course.

La séance a été perturbée par un drapeau rouge une heure et demie après le début des hostilités. La BMW M Hybrid V8 #20 BMW M Team WRT a apparemment subi un problème mécanique important au niveau des S Porsche, ce qui a conduit à la neutralisation de la session. Puis, à environ 40 minutes du terme, un nouveau drapeau rouge a interrompu les pilotes en piste, en raison de la sortie de piste de Giorgio Roda au volant de l’Oreca 07 #11 Proton Competition. Alors que la séance venait d’être relancée, les drapeaux rouges sont sortis une troisième et dernière fois à cause d’une erreur de Brenton Grove sur la Mercedes-AMG LMGT3 #63 Iron Lynx au niveau du Karting.

Sans attendre
Quelques minutes seulement après le début de cette séance, Brendon Hartley, au volant de la Toyota GR010 Hybrid #8 Toyota Gazoo Racing, inscrit un magnifique 3’26’’246. C’est déjà huit dixièmes plus rapide que ce matin, et ses rivaux répondent. James Calado (Ferrari 499P #51 Ferrari AF Corse), vainqueur en 2023, se rapproche à une demi-seconde. Le déploiement de la procédure Full Course Yellow met fin à cette chasse au chrono, et pousse les pilotes à s’arrêter. Après la reprise, la Ferrari #83 et la BMW #20 se sont postées aux troisième et quatrième places, sans pour autant s’approcher de la Toyota de tête.

Brendon Hartley : “Sur cette piste, la GR010 Hybrid prend vie”
À mi-chemin, toutes les Hypercars sont plus rapides que l’année dernière au même moment, à l’exception de la Peugeot 9X8 #94. La BMW #20, qui a manifestement connu une grave avarie mécanique, ne reprend pas la piste. Un peu plus de chance pour Sébastien Buemi, au volant de la Toyota #8, qui a subi une petite perte de pression dans l’une de ses gommes. Il a pu la ramener aux stands.

Le chrono réalisé par Brendon Hartley dans les premiers instants n’est approché par personne. Toyota conclut donc ainsi cette Journée Test en tête devant la Ferrari #51 et l’Alpine A424 #36.

United Autosports domine en LMP2
La catégorie LMP2 a connu une séance assez mouvementée. Alors que tout se déroulait sans anicroche depuis deux heures et demie, l’Oreca 07 #11 Proton Competition est aperçue dans l’échappatoire au niveau du virage d’Indianapolis après avoir touché le rail. L’Oreca #22 United Autosports, qui avait pris le commandement des opérations peu après l’entame, ne l’a plus jamais lâché. Elle termine la Journée Test en tête, assez nettement devant l’Oreca #29 TDS Racing et la #199 AO by TF.

Des progrès spectaculaires en LMGT3
Pendant ce temps-là, les pilotes de la catégorie LMGT3 n’amusent pas le terrain. Certaines équipes sont trois secondes plus rapides que l’année passée, et flirtent déjà avec le record de la piste en LMGT3 établi par Benjamin Barker en 2024.

Cependant, il ne faut pas oublier que le but de cette journée n’est pas nécessairement d’aller le plus vite possible, comme le rappelle François Hériau, engagé sur la Ferrari 296 LMGT3 #21 Vista AF Corse. « Il faut prendre le temps de se remettre dedans. On a le temps de travailler, il ne faut surtout pas brûler les étapes. »

François Hériau : “Il ne faut surtout pas brûler les étapes”
Au cours de cette séance, personne n’a pu frôler le chrono réalisé dans les premiers tours par la Lexus RC-F LMGT3 Akkodis ASP Team #87. La Ferrari 296 LMGT3 #21 Vista AF Corse est deuxième à plus d’une seconde et demie. À quelques minutes de la fin, Brenton Grove perd sa Mercedes-AMG #63 Iron Lynx au virage du Karting, ce qui provoque un troisième drapeau rouge et la fin de la session de l’après-midi.

Top 5 du classement général à l’issue de la deuxième session :
1. Toyota GR010 Hybrid #8 Toyota Gazoo Racing – Brendon Hartley/Sébastien Buémi/Rio Hirakawa – 3’26”246
2. Ferrari 499P #51 Ferrari AF Corse – Antonio Giovinazzi/Alessandro Pier Guidi/James Calado – 3’26”777
3.Alpine A424 #36 Alpine Endurance Team – Frédéric Makowiecki/Mick Schumacher/Jules Gounon – 3’27”313
4. Porsche 963 #4 Porsche Penske Motorsport – Kévin Estre/Laurens Vanthoor/Matt Campbell – 3’27”356
5. Ferrari 499P #83 AF Corse – YE Yifei/Philip Hanson/Robert Kubica – 3’27”357

Les meilleurs chronos des deux autres catégories :
LMP2 : Oreca 07 – Gibson #22 United Autosports – Renger Van Der Zande/Pietro Fittipaldi/David Heinemeier Hansson – 3’35”770
LMGT3 : Lexus RC-F LMGT3 #87 Akkodis ASP Team – Petru Umbrarescu/Clemens Schmid/José Maria Lopez – 3’55”276

 

Service Presse ACO.

 

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24 Heures du Mans – Roulage en ville

Les Hypercars, LMP2 et LMGT3 en plein cœur du Mans
Samedi 7 juin, un roulage spectaculaire à vivre en centre-ville

À moins d’une semaine du début des hostilités sur la piste avec la Journée Test des 24 Heures du Mans, la ville s’apprête à vibrer une nouvelle fois au son des moteurs. Samedi 7 juin à partir de 15 heures, 19 voitures de course issues des trois catégories du plateau 2025 défileront dans les rues mancelles pour un roulage exceptionnel en centre-ville.

Troisième édition de ce rendez-vous devenu incontournable, ce roulage organisé par l’ACO, en partenariat avec la ville du Mans, est un clin d’œil à l’histoire de l’épreuve : à une époque, les pilotes rejoignaient le circuit par la route, au volant même de leur voiture de course. Cette année, le dispositif est enrichi avec deux tours complets du parcours, long de 2,1 kilomètres, traversant les artères les plus emblématiques du centre-ville : tunnel Wilbur Wright, quai Louis Blanc, rue Gambetta, place de la République, boulevard René Levasseur, avenue François Mitterrand…
Un spectacle au plus près des spectateurs
Pour cette édition, trois zones d’observation privilégiées sont prévues tout au long du parcours — quai Louis Blanc, place de la République, place du Jet d’Eau — avec animations et présence de speakers pour faire vivre l’événement en direct.
Un rendez-vous populaire, gratuit et accessible à tous, qui préfigure l’effervescence de la grande semaine des 24 Heures du Mans. Comme l’an passé, il ne sera pas possible de traverser de part et d’autre du parcours pendant la totalité de l’événement.
19 voitures au départ, représentant toute la richesse du plateau 2025

HYPERCAR
• Porsche 963 #5 – Porsche Penske Motorsport – Nico Müller
• Toyota GR010 Hybrid #7 – Toyota Gazoo Racing – Kamui Kobayashi
• Aston Martin Valkyrie #009 – Aston Martin Thor Team – Marco Sørensen
• Cadillac V-Series.R #12 – Cadillac Hertz Team Jota – Sébastien Bourdais
• BMW M Hybrid V8 #20 – BMW M Team WRT – Philipp Eng
• Ferrari 499P #51 – Ferrari AF Corse – Antonio Giovinazzi
• Peugeot 9X8 #94 – Peugeot TotalEnergies – Loïc Duval
• Alpine A424 #35 – Alpine Endurance Team – Paul-Loup Chatin

LMP2
• Oreca 07-Gibson #45 – Algarve Pro Racing – George Kurtz
• Oreca 07-Gibson #199 – AO by TF – Louis Delétraz

LMGT3
• Aston Martin Vantage AMR LMGT3 #27 – Heart of Racing Team – Zacharie Robichon
• BMW M4 LMGT3 #46 – Team WRT – Ahmad Al Harthy
• Ferrari 296 LMGT3 #54 – Vista AF Corse – Francesco Castellacci
• McLaren 720S LMGT3 Evo #59 – United Autosports – Grégoire Saucy
• Mercedes AMG LMGT3 #63 – Iron Lynx – Stephen Grove
• Ford Mustang LMGT3 #77 – Proton Competition – Benjamin Barker
• Lexus RC F LMGT3 #78 – Akkodis ASP Team – Arnold Robin
• Corvette Z06 LMGT3.R #81 – TF Sport – Charlie Eastwood
• Porsche 911 GT3 R LMGT3 #85 – Iron Dames – Célia Martin

GUESTS
• Porsche 911 Turbo – Safety Car
• Le “Tank” Chenard & Walcker

Pierre Fillon, président de l’Automobile Club de l’Ouest : « Depuis trois ans, ce roulage en ville marque les esprits et laisse des souvenirs pour des générations de passionnés. Édition après édition, nous mettons tout en œuvre pour proposer aux spectateurs et habitants du Mans des animations toujours plus qualitatives. Je tiens à cet effet à remercier Stéphane Le Foll et toutes les équipes de la Ville du Mans pour leur précieux soutien dans l’organisation de grand temps fort des 24 Heures du Mans. »

Stéphane Le Foll, Maire du Mans : « Ces 19 voitures de course – Hypercars, LMP2, LMGT3 qui vont défiler au cœur même du centre-ville du Mans sont le symbole du lien fort et vivant entre la ville, la métropole et sa course mythique. Les 24 Heures du Mans, c’est une fête, un temps fort de l’année partagé et ce roulage, comme la parade qui aura lieu quelques jours après en sont l’essence même : des temps de rencontre populaire où les passionnés sont au plus près des machines et des hommes qui écrivent la légende. Cette démonstration en ville montre que la course appartient à tous, qu’elle fait partie de notre identité. Ensemble, vivons les 24 Heures ! »

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Une semaine d’animations pour vibrer au rythme de la 93e édition des 24 Heures du Mans

Le samedi 14 juin 2025, à 16 h, sera donné le départ de la 93e édition des 24 Heures du Mans, quatrième manche du Championnat du Monde d’Endurance FIA WEC. À quelques semaines du début de la mythique course mancelle, l’Automobile Club de l’Ouest dévoile aujourd’hui le détail des animations qui viendront enrichir dix jours d’exception ! 
 
UNE MONTÉE EN PUISSANCE DÈS LE 6 JUIN
 
La grande dizaine des 24 Heures du Mans débutera dès le vendredi 6 juin avec le traditionnel Pesage, qui se poursuivra jusqu’au samedi. Rendez-vous est donné place de la République, en plein cœur du Mans, pour les vérifications administratives et techniques. Après ce moment permettant d’approcher au plus proche les pilotes, le roulage en centre-ville viendra clôturer cette séquence à 15 heures le samedi. Une occasion unique de voir l’ensemble des modèles d’Hypercar défiler devant des dizaines de milliers de personnes.
 
Le dimanche 8 juin sera dédié à la Journée Test, premier jour de roulage officiel permettant à l’ensemble des concurrents de peaufiner les réglages de leurs machines. Avec deux séances d’essais libres, entrecoupées de la Ligier European Series, les spectateurs pourront vivre une journée intense. Le plus ? Les tribunes et le Support Paddock sont accessibles à tout porteur de billet pour cette journée, tout comme lors des Essais !
 
LE MARDI, UNE JOURNÉE INCONTOURNABLE
 
À partir du mardi 10 juin, les spectateurs pourront profiter des premières animations : séance de dédicaces, visite des stands, Pit Stop Challenge, sans oublier l’ouverture du Village Hydrogène ACO H2, du Village Constructeurs, ainsi que des Fan Zones. Si les machines sont au repos sur cette journée, c’est l’occasion rêvée pour tout passionné des 24 Heures du Mans de visiter les stands et approcher leurs héros. 
 
HYPERPOLE : LE MOMENT DE VÉRITÉ
 
Les mercredi 11 et jeudi 12 juin, le programme s’intensifiera avec les essais libres et essais qualificatifs des 24 Heures du Mans, les courses support (Ford Mustang Challenge, Porsche Sprint Challenge, Road to Le Mans), et le nouveau format de l’Hyperpole.
 
Pour assister à l’Hyperpole des 24 Heures du Mans 2025, aux deux soirées d’essais, mais également aux concerts d’Eddy De Pretto (le mercredi) et de Pascal Obispo (le jeudi), réservez vos billets ICI.
 
Le lendemain, le vendredi 13 juin, le public pourra notamment profiter de l’ouverture de la piste, entre 15 h et 19 h, pour fouler le mythique tracé à pieds, en vélo ou tout autre mode de transport doux. Sans oublier l’incontournable parade des pilotes dans le centre-ville du Mans, à partir de 16 h.  
 
LA COURSE, LE CŒUR D’UNE EXPÉRIENCE UNIQUE
 
Le départ de la 93e édition des 24 Heures du Mans sera donné le samedi 14 juin à 16 h par Roger Federer, légende mondiale du tennis, précédé de la cérémonie officielle de départ et d’une démonstration inédite consacrée à l’hydrogène.
 
Après les concerts de Kool & The Gang et de The Avener, les spectateurs vivront une nouvelle édition du Show des 24 Heures du Mans, mêlant son, lumière, pyrotechnie et ambiance unique. Sur le thème “24h On Board”, les spectateurs seront plongés au cœur de la course grâce à un spectacle immersif de 20 minutes. Feu d’artifice et spectacle de drones et de lasers viendront sublimer cette soirée d’exception. Alors que les pilotes repousseront leurs limites en piste, ce moment hors du temps fera vibrer petits et grands.
 
L’arrivée de la course est prévue le dimanche 15 juin à 16 h, suivie de la cérémonie du podium, moment toujours fort en émotions.
 
DES ANIMATIONS À DÉCOUVRIR TOUT AU LONG DE LA SEMAINE
 
En parallèle de ce programme sportif particulièrement dense, le public pourra profiter des désormais incontournables : 
• Fan Zones (Family, Concert, Porte Est, Tertre Rouge (nouveauté), Karting (nouveauté)), proposant des animations pour tous les âges et tous les goûts : simulateurs, tyrolienne, escalade, gaming, village solidaire…
• Village Constructeurs, où les grandes marques (Alpine, BMW M, Ford, Genesis, McLaren, Mercedes AMG, Porsche, Toyota Gazoo, Iron Dames) proposeront des expositions et animations exclusives.
• Village Hydrogène ACO H2, animé par deux thématiques en 2025 : le sport automobile, avec la compétition, l’Endurance, avec des prototypes et une station Hydrogène 700 bar de TotalEnergies qui procèdera à des ravitaillements en public, ainsi que la mobilité hydrogène déjà bien réelle, sur 2 ou 4 roues, dans les airs, l’espace ou sur l’eau.
Nouveauté cette année, plusieurs points de vue piste exclusifs, notamment une butte au niveau des virages du karting qui permettra à des milliers de spectateurs de profiter d’un espace pour regarder le spectacle en piste. 
 
L’ensemble des informations pratiques est à retrouver dans l’application 24H EXPERIENCE. Véritable compagnon de visite, elle permet de s’orienter facilement sur le circuit grâce à une carte interactive, et de ne rien manquer des animations, concerts et temps forts.  
 
IMPACT CHALLENGE : LE JEU INTERACTIF QUI ENGAGE LES SPECTATEURS AUTOUR DE LA RSE
 
Pour cette 93e édition des 24 Heures du Mans, l’ACO franchit une nouvelle étape en matière de responsabilité sociétale avec le lancement de l’IMPACT CHALLENGE. Celui-ci s’inscrit dans le cadre de sa stratégie Race to 2030 et dans la continuité du Green Ticket. Ce défi va donner du sens à l’expérience des spectateurs et leur permettre de vivre l’inédit aux 24 Heures du Mans. Intégré dans l’application 24H EXPERIENCE, ce défi propose plus de 170 missions liées à la RSE.
A partir du 1er juin et jusqu’au dimanche 15 juin au moment du drapeau à damier, les joueurs pourront collecter des points en réalisant un maximum de missions proposées sur le circuit. Les missions, si elles sont acceptées : participer aux quiz EngageMans, répondre aux questions proposées sur les espaces des partenaires en flashant un QR Code ou réaliser les activités proposées. A chaque mission, les spectateurs collecteront des points qui pourront leur permettre de gagner des lots d’exception parmi les 4 000 mis en jeu. Avec l’IMPACT CHALLENGE, les 24 Heures du Mans font rimer Passion avec Actions.
 
Service Presse ACO.
 
Programme format HD :
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Lohéac Legend Festival

130 voitures dont 36 Groupe B !

A une semaine (24 et 25 mai), du 2e Lohéac Legend Festival, les organisateurs font le plein d’engagés. Ainsi 130 voitures (53 de rallycross, 74 de rallye, 3 de rallye raid) seront présentes lors de ce dernier week-end de mai en Bretagne ! Tous les passionnés de Rallycross et de Rallye vont passer, comme en 2023 pour la première édition, un week-end fort en émotions !!

Parmi l’ensemble des voitures du Groupe B (36 voitures présentes), les milliers de spectateurs pourront admirer en action sur la piste, celles qui sont les plus représentatives des années 1982-1986 : 5 MG Metro 6R4, 5 Audi quattro S1 ou S1 E2, 4 Peugeot 205 T16 Evo. 1 ou 2, 4 Ford RS 200, 2 Lancia Rally 037, une Lancia Delta S4 et une Porsche 911 SC RS 3.0. Les WRC (World Rally Car) seront au nombre de sept dont une Citroën Xsara, une Subaru Impreza, une Ford Escort, une Citroën C4, une Toyota Corolla et une Peugeot 206. Parmi les 74 pilotes de rallye, le Belge Christophe Jacob (Ford Escort RS 1800 Groupe 4) peut s’enorgueillir d’un fantastique palmarès en VHC. Deux Citroën ZX Baja et un Protruck V8 de rallye-raid ne seront pas, comme en 2023, avare de spectacle ! Pour la catégorie rallye/rallye-raid, les pilotes partiront à cinq toutes les 10-15 secondes sur la piste de rallycross.

Le 2e Lohéac Legend Festival comptera aussi 53 voitures de rallycross dont beaucoup d’authentiques restaurées à la perfection (Citroën Xantia 1900 turbo 4×4 de Jean-Luc Pailler, Peugeot 306 T16 ex-Will Gollop, MG Metro 6R4 de Rob Gibson, Citroën Xantia turbo 4×4 de Jean-Luc Pailler, Peugeot 306 S16 ex-Eddy Bénézet, BMW 318 Ti T3F ex-Knapick, etc). De nombreux pilotes qui cumulent des titres de Champion de France de rallycross seront présents et en action sur la piste (Jean-Luc Pailler, Gérard Roussel, Gaëtan Sérazin, Christian Ménier, Christophe Vaison, Sébastien Tertrais et Laurent Chartrain). De nombreux pilotes de rallycross européen, qui ont brillé à différentes époques, seront au volant à Lohéac (Pat et Liam Doram, Andreas Eriksson, Rob Gibson, Ollie
O’Donovan, Jos Sterkens et George Tracey).

Comme en 2023, l’ensemble des voitures sera rassemblé sous des tentes blanches dans l’allée principale du parc de Lohéac. Le lieu sera évidemment ouvert au public qui pourra admirer les voitures exposées et discuter avec passion avec les pilotes qui ont marqué l’histoire du rallycross et du rallye, certains pendant plus de 30 ans. Ne pas oublier non plus la parade des pilotes dans la rue principale de Lohéac le samedi en fin d’après-midi (18h 20h)

Ce week-end des 24 et 25 mai autour et sur le circuit de rallycross qui a vu naître cette discipline en septembre 1976 sera à coup sûr un évènement exceptionnel à vivre !

Liste des engagés.

www.rallycrossloheac.com

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Découvrez les 186 pilotes qui seront au départ des 24 Heures du Mans

Les 14 et 15 juin prochain, la 93e édition des 24 Heures du Mans mettra à l’épreuve les plus grands constructeurs mondiaux et des pilotes d’exception. La quatrième manche du FIA WEC promet d’être des plus passionnantes. Ce mardi 13 mai, la liste des 186 pilotes engagés se révèle ; voici un résumé des éléments à retenir.

Télécharger la liste ici !

La catégorie Hypercar plus disputée que jamais

Avec pas moins de 21 prototypes engagés en Hypercar, ces 24 Heures du Mans s’annoncent très serrées. Huit constructeurs différents tenteront de s’imposer, et tous auront leurs chances : l’année dernière, neuf voitures ont terminé dans le tour du vainqueur, un record qui pourrait bien être battu dans un peu plus d’un mois. Au total, la catégorie reine comptera dans ses rangs 15 pilotes qui sont déjà montés sur la plus haute marche du podium au Mans, d’Earl Bamber à Sébastien Buemi en passant par Antonio Giovinazzi. L’issue de l’épreuve n’en sera que plus incertaine.

Un rendez-vous de pilotes légendaires

Chaque année, les 24 Heures du Mans attirent les plus grands noms des sports mécaniques, et l’édition 2025 ne fait pas exception à la règle. Jenson Button, Champion du monde de Formule 1 2009, sera au départ pour Cadillac Hertz Team Jota, tandis que Kevin Magnussen, 185 GP au compteur, mènera la charge pour le compte de BMW M Team WRT. Bien sûr, la présence de Valentino Rossi, neuf fois sacré en Grands Prix motos, sera encore une fois remarquée chez Team WRT en LMGT3.

Le retour d’un constructeur mythique

Grâce à la Valkyrie à moteur V12, Aston Martin effectuera son retour au plus haut niveau. La firme britannique, liée à l’histoire des 24 Heures du Mans, s’y est engagée dès la sixième édition en 1928. Depuis, Aston Martin réalise des apparitions remarquées en Sarthe, en catégorie reine, mais également en Grand Tourisme. En 1959, Carroll Shelby et Roy Salvadori ont remporté l’épreuve au volant d’une DBR1, un exploit qui n’a jamais été réitéré ; les pilotes annoncés sur les Aston Martin Valkyrie #007 et #009 tenteront d’ajouter une nouvelle ligne au prestigieux palmarès de l’écurie. Il s’agit d’une des dix marques présentes au départ qui ont déjà triomphé de la plus grande course d’endurance au monde ; un gage de savoir-faire incontestable.

Cinq femmes au départ de l’épreuve

Le trio féminin des Iron Dames se renouvelle encore en 2025. Elles seront au volant d’une Porsche 911 GT3 R LMGT3 chapeautée par Manthey Racing, avec la volonté de faire mieux que la quatrième place de catégorie réalisée en 2024. Aux côtés des habituées Michelle Gatting et Rahel Frey, Célia Martin participera à ses premières 24 Heures du Mans. Toujours chaleureusement saluées par le public, elles sauront créer un véritable engouement autour de leur présence, comme c’est le cas chaque année depuis 2019. Au-delà de cet équipage, deux autres pilotes féminines prendront également le départ de l’épreuve : Lilou Wadoux, engagée sur la Ferrari 296 LMGT3 du team Richard Mille AF Corse, et Jamie Chadwick, qui sera de son côté avec IDEC Sport, en LMP2.

Un plateau LMGT3 exceptionnel

La catégorie LMGT3 revêt d’une importance toute particulière. En plus de mettre aux prises des constructeurs de premier plan bien connus du public manceau, Mercedes-AMG débarque avec trois modèles supervisés par la formation Iron Lynx. Cela ne fait que pimenter une classe extrêmement disputée, où cinq marques différentes sont déjà montées sur le podium après deux manches du championnat FIA WEC. Au total, neuf géants, de Ferrari à McLaren, s’affronteront pour la victoire, soit 24 voitures : un record pour le LMGT3. Côté pilotes, on retrouve les spécialistes du Grand Tourisme, à l’image de Richard Lietz, mais également les jeunes loups avec le vent en poupe, comme Loek Hartog.

Le niveau encore rehaussé en LMP2

Année après année, le LMP2 ne cesse de proposer un show passionnant aux spectateurs. Les acteurs de cette classe sont taillés pour de longues batailles qui se prolongent parfois jusque dans les derniers instants. Cette année, le LMP2 est marqué par la présence d’André Lotterer chez IDEC Sport. Le triple vainqueur des 24 Heures du Mans prépare ainsi l’arrivée future de Genesis en Hypercar à l’horizon 2026, mais d’autres prétendants ne sont pas à négliger. Parmi eux, l’Hyperpoleman de 2024, Louis Delétraz, sur l’Oreca 07 – Gibson #199 AO by TF, ou Renger van der Zande, ancien pilote en Hypercar, sur l’Oreca #22 United Autosports. Au total, 17 LMP2 croiseront le fer du 14 au 15 juin.

Rendez-vous le samedi 14 juin prochain, à 16 heures, pour le grand départ de la 93e édition des 24 Heures du Mans !

Dernières places disponibles !

Les Essais, les Qualifications et le nouveau format de l’Hyperpole sont à découvrir avant de profiter des concerts ! Des billets sont disponibles dès 23€ pour les étudiants et à 62€ pour le Green Ticket, une offre pour les adeptes de mobilité durable.

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Trophée Jacky Deborde – Qu’est ce que c’est ?

A l’aube de la reprise de la saison rallystique sur les terres bretonnes, un point sur le plus beau trophée de l’Ouest : le Trophée Jacky DEBORDE. Revenons à l’origine de celui-ci. Il faut remonter en 2004, une année noire pour le sport automobile avec la disparition tragique du pilote vendéen Jacky DEBORDE, emporté par sa passion.
La ligue Bretagne-Pays de la Loire crée le Trophée Jacky DEBORDE pour rendre hommage à ce grand pilote parti trop tôt. Jacky DEBORDE était un homme au grand cœur avec de très belles valeurs sportives. On se souvient tous du son caractéristique de la Saxo Kit-Car, de son sens permanent de l’attaque. Monsieur DEBORDE n’hésitait pas à se confronter au gratin national en Championnat de France ou sur les épreuves de la Coupe de France aux quatre coins de l’hexagone. Son esprit de compétition s’est traduit au-delà de son palmarès reconnu avec une cinquantaine de scratchs obtenus avec le panache et la manière. Ce magnifique trophée entretient aujourd’hui l’héritage de Jacky DEBORDE.

 


Et en 2025, pourquoi pas vous ?
Pour cela, il faut être licencié dans la Ligue Bretagne Pays de la Loire et participer aux épreuves de la Ligue. La Ligue compte neuf rallyes : une épreuve en national et huit en régional. A noter, la création d’un nouveau rallye cette année : le Rallye Centre Bretagne du côté de Noyal-Pontivy (56).

Le calendrier comptant pour le Trophée :
Rallye Pays de Lohéac (N) ;
Rallye Pays de Lohéac (R) ;
Rallye Côteaux du Layon (R) ;
Rallye Morbihan (R) ;
Rallye Val de Sèvre (R) ;
Rallye Le Mans (R) ;
Rallye Centre Bretagne (R) ;
Rallye Côtes de Lumière (R) ;
Rallye de la Vie (R).

Le barème des points :

Le palmarès du Trophée :
2004- David THOMAS (Clio Williams)
2005- Laurent CORBINEAU (Clio)
2006- Laurent CORBINEAU (Clio)
2007- Didier GOURET (306 S16)
2008- Jean-Luc SOUFFEZ (106 S16)
2009- Didier GOURET (206 RC)
2010- Daniel RAULT (Mégane Coupé)
2011- Didier GOURET (206 RC)
2012- Yohann MOUILLE (106 S16)
2013- Romain GUENEC (C2 VTS)
2014- Stéphane ANTIER (Clio RS)
2015- Laurent CORBINEAU (Clio RS)
2016- Romain GUENEC (C2 VTS)
2017- Bruno LONGEPE (406 Coupé)
2018- Laurent CORBINEAU (Clio RS)
2019- Yohann MOUILLE (206 RC)
2022- Florian ROUILLARD (106 S16)
2023- Antoine BORDAGARAY (CLIO 5 RS LINE)
2024- Cédric HUBY (206 S16)
2025- ?

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24 Heures du Mans – Programme

Un programme unique pour un plateau historique

Le samedi 14 juin prochain, à 16 h, sera donné le départ de la 93ème édition des 24 Heures du Mans, 4e manche du FIA WEC. Après avoir révélé les 62 voitures engagées de cette course hors-normes, l’ACO est heureux de dévoiler tout le programme et les festivités !

 

NOUVEAUTÉS 2025

SAMEDI 7 JUIN : LE ROULAGE EN CENTRE-VILLE, UN MOMENT EXCEPTIONNEL
Pour la troisième fois de l’histoire, une trentaine de véhicules dont 19 participantes aux 24 Heures du Mans, défileront sur le tracé de 2,1km dans le centre-ville du Mans. L’an passé, des milliers de spectateurs s’étaient rassemblés, transformant la ville en véritable circuit. Afin d’offrir au public un spectacle toujours plus intense, les voitures réaliseront cette année deux tours chacune, et partiront depuis la Place du Jet d’Eau.
Plus de 70 commissaires sécuriseront ce tracé. Rendez-vous le samedi 7 juin, après le Pesage, pour vivre un moment exceptionnel !

A PARTIR DE MARDI 10 JUIN : DEUX NOUVELLES FAN ZONES ET LE VILLAGE CONSTRUCTEURS
Deux nouvelles fan zones seront à découvrir : la Fan Zone Tertre Rouge et la Fan Zone Karting !

Les Fan Zones offriront une expérience variée pour tous les publics. La Fan Zone Family sera dédiée aux familles, avec des activités ludiques et éducatives dans la Kids Zone, des jeux vidéo et des expositions interactives. La Fan Zone Porte Est combinera engagement sociétal à travers de nombreuses initiatives solidaires et bien être au sein de la relax zone avec massage gratuits ou tatouages temporaires. La Fan Zone Karting proposera des activités liées au sport automobile, telles que des simulateurs et des expositions de voitures. Nouveauté cette année, la Fan Zone Tertre Rouge sera axée sur les activités de plein air, comme le laser game et l’escalade. La Fan Zone Concert offrira des animations musicales et des concerts, créant une ambiance festive. Chaque zone visera à répondre à des intérêts variés pour satisfaire tous les visiteurs.
Le Village des 24 Heures du Mans ouvrira ses portes avec l’ensemble des espaces d’expositions et d’animations des partenaires, licenciés, exposants et boutiques officielles. Au cœur du circuit, le Village des constructeurs des 24 Heures du Mans sera marqué par la présence incontournable des constructeurs participant à la course ou futur participant à la course tel que : Alpine, BMW M, Ford, Genesis, Mercedes-AMG, Porsche et Toyota.
Entre expositions spectaculaires, vente de souvenirs ou de collections et lieu de détente, le village sera un véritable lieu de vie à ne pas manquer !

MERCREDI 11 JUIN : LA COURSE SUPPORT MUSTANG CHALLENGE, L’INAUGURATION DU VILLAGE HYDROGENE ACO H2 ET LA QUALIFICATION A L’HYPERPOLE
Ford Performance a annoncé l’arrivée du Mustang Challenge Le Mans, nouvelle course support 24 Heures du Mans. Cet événement spécial sera une manche optionnelle du championnat IMSA Mustang Challenge. Pour garantir une compétition de haut niveau, un nombre limité de ces voitures de course sera mis à disposition des pilotes qualifiés. Une course unique pour les passionnés.
Au Village Hydrogène ACO H2, les spectateurs pourront découvrir un paddock H2, avec une station mobile et une exposition de prototypes hydrogène qui, pour certains, participeront à des démonstrations en piste, jeudi et samedi.
MissionH24, fruit de la collaboration entre l’ACO et H24Project, dévoilera la H24EVO. En marge de la compétition, un espace dédié mettra en avant la réalité de la mobilité hydrogène à travers divers moyens de transport : vélo, voiture, moto, bus, bateau, fusée, camion, train et avion. Le village ouvrira ses portes mardi après-midi, puis accueillera le public de mercredi à dimanche, de 10h à minuit. Un animateur issu du monde du sport, dont l’identité sera prochainement révélée, animera cet espace. L’inauguration du village aura lieu en fin de matinée ce mercredi 11 juin.
Le nouveau format Hyperpole réparti sur deux jours permettra d’augmenter la tension progressivement. Après une première séance d’Essais Libres, les concurrents engagés en LMP2 et en LMGT3 s’élancent pour 30 minutes de Qualifications. L’objectif est clair : figurer parmi les 12 meilleures pour accéder à l’Hyperpole. Les Hypercars, quant à elles, ont ensuite une séance similaire, mais avec 15 places en jeu.

JEUDI 12 JUIN : NOUVEAU FORMAT HYPERPOLE
Le jeudi, place à deux séances d’Hyperpole : Hyperpole 1 et Hyperpole 2. Dans H1, les 24 voitures qualifiées la veille en LMP2 et LMGT3 (2×12) se battront pendant 20 minutes pour obtenir une place parmi les 8 meilleures, synonymes d’accès à Hyperpole 2. Ce format éliminatoire sera reproduit pour les Hypercars, avec les 15 meilleurs prototypes qui s’affronteront en Hyperpole 1 pour déterminer les 10 finalistes. En Hyperpole 2, les pilotes restant en lice disposeront de 15 minutes pour tout donner et réaliser le tour parfait afin de décrocher la meilleure place possible sur la grille.

Rendez-vous le samedi 14 juin à 16 heures pour le départ de la 93ème édition !

Communiqué ACO

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