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Une 39e édition des 24 Heures Camions record !

Les 24 Heures Camions ont accueilli l’avant-dernière manche du Championnat de France, mais également celle du Championnat d’Europe Goodyear FIA ETRC et du British Truck Racing Championship (BTRC). Cette édition 100% camions a accueilli, sur deux jours, 80 800 spectateurs. Un nouveau record !

Ce week-end, à l’occasion de la 39e édition des 24 Heures Camions, ce sont 80 800 spectateurs qui se sont réunis sur le week-end au sein du Circuit Bugatti. Le précédent record, qui datait de l’édition en 2023, était de 80 280 spectateurs.

Côté sportif, Téo Calvet remporte le Challenge 24 Heures Camions, qui récompense le pilote le plus performant sur la moyenne des 4 manches du Championnat de France. Le pilote du Team Buggyra ZM Racing conforte ainsi son avance au classement du Championnat et tentera de s’adjuger le titre à l’occasion de la dernière manche, qui se disputera à Albi dans un mois. Les 29 camions engagés se sont livrés des batailles épiques en piste, notamment lors de la manche disputée de nuit, samedi soir. Une ambiance nocturne qui a offert un spectacle unique aux spectateurs, mais a également posé des défis supplémentaires aux pilotes, notamment en matière de visibilité et d’appréciation des distances.

En Championnat d’Europe, Norbert Kiss reste la figure incontestable de la catégorie et remporte le classement général. Le pilote hongrois remporte à l’occasion de cette manche le titre de champion d’Europe sur le tracé sarthois, le sixième de sa carrière !

Les courses du BTRC ont de leur côté offert un spectacle palpitant, avec notamment un Rayan Smith impérial, même après un départ sous grille inversée.

Au-delà de la compétition, une grande fête des camions

Les 24 Heures Camions, organisées par l’Automobile Club de l’Ouest et Wheels Racing, sont une compétition attendue de tous, concurrents et spectateurs, mais aussi un événement festif, convivial et amical. Camions américains, camions équipés tuning, camions décorés, camions anciens : il y en avait pour tous les goûts dans le Truck Show et ses deux défilés. Plus de 250 camions ont ainsi pu rouler sur le circuit Bugatti, samedi soir et dimanche midi, pour ce qui constitue toujours un moment fort pour les spectateurs.

A l’occasion du concert du samedi soir, Jean-Baptiste Guegan est venu enflammer la scène, devant un public venu en masse. Interprétant les plus grands titres de Johnny Hallyday, cet artiste breton a offert aux spectateurs un moment d’exception.

Sous les yeux de Sébastien Chabal, cette 39e édition a donc tenu toutes ses promesses, dépassant l’univers sportif. Pour la troisième année consécutive, la totalité des constructeurs était présente, aux côtés de Renault Trucks, partenaire officiel des 24 Heures Camions : DAF, Ford-Trucks, Iveco, Mercedes-Benz Trucks France, MAN, Scania et Volvo Trucks. L’espace emploi et formation a de son côté accueilli cette année une cinquantaine de sociétés de transport, ainsi que des organismes de formations, agences d’intérim ou lycées professionnels du secteur. Cet espace, destiné aux conducteurs routiers, mécaniciens poids lourds et toute personne en recherche d’emploi portant un intérêt au transport a permis aux visiteurs de déposer leur candidature et d’échanger avec les exposants.

Rendez-vous est pris l’année prochaine pour vivre la 40e édition des 24 Heures Camions !

Source ACO

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Pascal Huteau champion European GT4 Series

Au soir du 5ème meeting de la saison à Monza (Italie), Pascal Huteau, pilote nantais, a décroché le titre de champion d’Europe GT4 catégorie AM (pilotes amateurs).

Après 6 victoires sur 10 courses disputées, Pascal et son équipier Laurent Hurgon sont titrés alors qu’il reste deux courses à disputer sur le circuit de Djeddah en Arabie Saoudite les 29 et 30 novembre prochains.

Après avoir été titré en GT4 AM France en 2021, Pascal monte donc d’un échelon en allant chercher sa première couronne internationale.

” Je suis vraiment très heureux de ce titre. Il est dédié à tous ceux qui me soutiennent depuis de nombreuses années, mon entourage proche, mes partenaires et les membres du club Vision Racing. Un grand merci également à Laurent qui est le coéquipier idéal dans ce projet et à Schumacher CLRT de nous fournir une auto toujours au top. Maintenant la saison n’est pas terminée et nous avons à cœur de la terminer sur une bonne note à Djeddah. ”

 

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Finale coupe de France de la Montagne 2024

Le bilan de cette finale de la Coupe de France de la Montagne est plutôt positif pour les pilotes de notre Ligue Bpl.

La victoire dans le groupe FC reste dans l’escarcelle de Romain Richardeau qui avait déjà imposé sa Simca Rallye 3 l’an dernier. Il signe une nouvelle victoire en terminant huitième du Production. Il prend l’ascendant sur Antoine Cordonnier (Fiat X1/9), que l’on retrouve au dixième rang, et sur la Simca 1000 Turbo de Patrick Ramus.

Dans le Groupe DE Benoit Taviaux prends la 4ème place à 2/10ème de seconde du podium !!!! Il se classe second de la classe 5S.

Fabien Oréal est 13ème du Groupe CN et 3ème en CM et 3ème meilleur jeune dans la catégorie Voitures de Sport.

Enfin Célia Debé se classe 14ème du Groupe A 5ème en A3 et surtout 3ème du classement féminin en Voitures de Production.

Bravo à tous les 5….Nous vous donnons rendez-vous en septembre 2025 pour une nouvelle Finale en Lozère, à La Canourgue.

Les classements sur: http://www.patricksoft.fr

Source : https://www.facebook.com/profile.php?id=61564475101932

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Nouvelle page Facebook “Ligue BPL”

La nouvelle page Facebook de la Ligue Bretagne Pays de la Loire du Sport Automobile est ouverte !

Elle vient en complément du site web pour vous apporter des informations flash !

Vous pouvez dores et déjà y retrouver les pilotes de la ligue qui seront présents à la finale de la Montagne de Steige.

Cliquez sur ce lien pour y accéder et identifiez vous comme “Ami(e)s”.

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Slalom – Finale de la coupe de France 2024 – Nos représentants

La Finale de la Coupe de France des slaloms aura lieu ce week-end (14 et 15 septembre) à Beaucaire dans le Gard.

Un long déplacement pour nos pilotes de l’Ouest, qui ont néanmoins répondu présents.

Présentation en images des jeunes femmes et hommes qui représenteront fièrement les couleurs de notre Ligue lors de cette finale :

Antoine COLLAS – Monoplace F3

 

Hugo DENIE – Renault Clio

 

Paul FERNANDEZ – Citroën AX

 

Gabin GUILLOU – Campus Fior – Lycée CCI La Mans

 

Sophie MONVOISIN – Lycée Saint François d’Assise La Roche sur Yon

 

Maxime MOREAU – Campus Fior – Lycée Saint François d’Assise La Roche sur Yon

 

Charlène ODIOT – Lycée CCI La Mans

 

Benoit TAVIAUX – Monoplace GBC

 

Site internet de la Finale 2024

Suivre les classements en direct !

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Annulation slalom de Lohéac

Faute d’un nombre d’engagés suffisant lundi 1er juillet, seulement 34, nous avons pris la décision d’annuler le slalom de Lohéac, n’ayant pas de projection sur le nombre d’engagements à venir, nous préférons l’annuler assez tôt afin de libérer tous les officiels, les secours et les commissaires qui avaient répondus présents pour encadrer l’épreuve.
Décision prise conjointement par l’Écurie Bretagne et l’A.S.K. Lohéac.

GERAUD Olivier
Bureau de l’écurie Bretagne

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Au revoir Jean-Luc Niepceron

Nous avons le regret de vous faire part du décès de Jean-Luc NIEPCERON survenu le 22 juin 2024 à l’âge de 70 ans.

Jean-Luc était un ancien commissaire de l’ASA Maine Bretagne et de l’ACO, membre de l’amicale des commissaires.
Il avait notamment officié comme Chef de Poste du Bugatti et à Mulsanne sur les 24 heures du Mans.
Jean-Luc était reconnu comme un commissaire performant et fédérateur, n’hésitant pas à mettre tout son savoir au service de la formation des jeunes.

L’ensemble du comité Directeur de la Ligue ainsi que l’ASA Maine Bretagne adressent ses sincères condoléances à la famille et aux proches de Jean-Luc.

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Ferrari remporte la 92e édition des 24 Heures du Mans !

Ferrari, devant une affluence record de 329 000 spectateurs, décroche un 11e succès aux 24 Heures du Mans, le second de rang pour les 499P après la victoire de l’édition du Centenaire. Antonio Fuoco, Miguel Molina et Nicklas Nielsen sur la 499P #50 rejoignent ainsi au palmarès de la course leurs équipiers de la #51 (Alessandro Pier Guidi/James Calado/Antonio Giovinazzi) vainqueurs en 2023.

Après une édition marquée par la pluie, qui est venue rythmer l’épreuve à plusieurs reprises, c’est Ferrari qui s’impose à nouveau. Retour sur cette version 2024 inédite qui a vu 23 hypercars batailler en piste.

 

HYPERCARS : La 499P assied sa légende

Une surprenante Ferrari jaune
En tant que vainqueur sortant, Ferrari était évidemment attendu, et on se doutait que les 499P allaient se battre aux avant-postes de cette 92e édition. Toutefois, la plus surveillée du clan italien n’était probablement pas la #83 de Robert Kubica/Robert Shwartzman/Yifei Ye. Et pourtant.
Dès le départ, donné par Zinédine Zidane, les #50 et #51 sont les plus rapides. Nicklas Nielsen, sur la #50, prend la tête dès le premier tour. Il ne laisse pas à Laurens Vanthoor (Porsche 963 #6 Porsche Penske Motorsport) le plaisir d’ouvrir la piste. Dans la foulée, c’est Antonio Giovinazzi (Ferrari 499P #51) qui l’imite et passe le pilote belge. Le duo de Ferrari 499P à la robe rouge est aux commandes après seulement 13 minutes de course. Un peu plus loin, Robert Kubica (Ferrari 499P #83), parti 12e, pointe déjà à la cinquième place, à la faveur de premiers tours très incisifs.

Nous n’assistons pour autant pas à un récital des prototypes Ferrari, la météo capricieuse venant – une première fois – chambouler le scénario parfait qu’avaient imaginé les tifosis.
Aux environs de 17 h 40, la pluie fait sa première apparition pendant la course, obligeant les équipes à se positionner rapidement. Plusieurs hypercars chaussent, de manière très précoce, des pneumatiques pluie. C’est le cas chez Ferrari sur la #51, chez Porsche sur la #4 et chez Toyota sur la #7. Partie de l’Hyperpole, la 963 #6 emmenée par André Lotterer (qui relaie très tôt Laurens Vanthoor) fait aussi ce choix – qui se révèle ne pas être le bon. Celui qui survole la concurrence, c’est Robert Kubica. Sa 499P jaune est la seule à être équipée slicks, avec le composé le plus tendre. Dès lors, et avec une piste qui devient de plus en plus sèche, Robert Shwartzman le relaie et s’applique. Il s’échappe. Il construit son avance, seconde par seconde.
Une alerte sérieuse survient toutefois samedi soir. Peu avant 22 heures, la pluie est de retour et on se prépare dans les stands pour l’affronter à nouveau. Une fois encore, la stratégie est la bonne sur la #83. On choisit rapidement les pneus pour chaussée humide – comme sur la 963 #5 – et, avec une pluie persistante, les secondes se perdent par poignées pour les poursuivants : la Ferrari #83 tourne 30’’ plus vite au tour que ses opposants restés en slicks ! Mais tout bascule à 22 h 37. Robert Kubica revient à pleine vitesse sur la BMW M Hybrid V8 #15 de Dries Vanthoor. Ce dernier ne veut pas se faire prendre un tour, car rester dans la même boucle que le leader peut s’avérer décisif en cas de sortie des voitures de sécurité. Le contact envoie la machine allemande dans le mur. Elle est si fortement endommagée que Dries Vanthoor doit mettre pied à terre. Jugé coupable d’avoir tassé ce dernier, Robert Kubica écope de 30 secondes de pénalité lors de son arrêt suivant. Cette punition, purgée à 00 h 30, fait reculer l’hypercar jaune. Jamais elle ne sera revue en haut d’une feuille de classement (à 12 heures le dimanche, Yifei Ye l’immobilise devant son stand avant qu’elle ne soit rentrée, abandon).

L’attente
Se dessine une bataille à trois entre Porsche Penske Motorsport, Toyota Gazoo Racing et Ferrari AF Corse.
On ne retrouve pas l’unique Isotta Fraschini, qui connaît une très belle première participation, mais ne peut se battre devant. Dans le clan Lamborghini, les SC63 sont encore là, fiables, mais loin. BMW non plus ne peut pas fêter de la meilleure manière le 25e anniversaire de la victoire de la V12 LMR. La M Hybrid V8 #15 est éliminée suite au contact avec la Ferrari 499P #83. La #20, elle, était déjà hors séquence dès le début de l’épreuve, avec plusieurs problèmes techniques pour ce grand retour.
Dans la nuit, on ne compte malheureusement plus de forces françaises capables de gagner, Alpine ayant rencontré des difficultés en début de soirée avec ses moteurs, et Peugeot ayant quitté le tour de tête après seulement 2 h 45 d’épreuve.
Des hypercars encore dans le coup (elles sont encore une dizaine à minuit), c’est la Toyota GR010 Hybrid #8 Toyota Gazoo Racing de Sébastien Buemi/Brendon Hartley/Ryo Hirakawa qui traverse la nuit devant. Sur toutes les feuilles de chronométrage officielles, de 1 heure à 9 heures du matin, la machine nippone est au top. Comme dans la plus pure tradition des 24 Heures du Mans, ce cavalier nocturne permet-il à Toyota de construire sa victoire ? Non. La lecture brute des résultats est un leurre. Car cette édition 2024 est imprévisible.
En réalité, le trio Ferrari-Porsche-Toyota se toise, s’observe, se défie. Mais les pilotes ne se battent pas. Les conditions météorologiques effroyables poussent la direction de course à faire sortir les voitures de sécurité. Le Mans est en pause. Pour mieux repartir.
Les pilotes sont comme des lions en cage et espèrent des conditions meilleures pour partir en chasse. Impossible de dépasser, impossible de faire parler ses arguments. Il faut être appliqué, essayer de bien économiser le carburant et ne pas faire d’erreur dans les stands. Certains pilotes bavardent avec leur ingénieur à la radio, pour vaincre l’ennui et la monotonie. D’autres apprécient ce calme, qui n’est que temporaire. Car le sprint va redémarrer.

L’emballage final
À sept heures du but, 11 voitures sont encore dans le tour de tête et peuvent prétendre à la victoire. Il ne pleut plus : la bataille est intense au sein de ce peloton, avec des affrontements multiples. On se rend coup pour coup entre hypercars.
Toutes les marques ne répondent pas présentes. Cadillac perd deux voitures. Fuite d’huile sur la Cadillac V-Series.R #3 (Sébastien Bourdais/Renger van der Zande/Scott Dixon) et accident spectaculaire pour Pipo Derani sur la Cadillac V-Series.R #311.
Porsche aussi souffre. La 963 #4 percute le mur de pneus à Indianapolis (avec Felipe Nasr). Au rythme, les 963 #5 et #6 semblent moins à l’aise. Les pilotes ne parviennent pas à hausser leur niveau pour chercher les dixièmes qui font la différence.
Le rythme s’accélère à l’entame des quatre dernières heures. Longtemps c’est le 46e tour d’Antonio Fuoco en 3’29’’208 qui est resté le meilleur temps. Mais à 12 h 15, la marque tombe. Alex Palou (Cadillac V-Series.R #2 Cadillac Racing) impressionne : 3’28’’938 au 253e tour – avant que Kamui Kobayashi (Toyota GR010 Hybrid #7) n’améliore en 3’28’’756 au passage suivant.
Un peu avant 14 heures, la pluie revient. Doucement, d’abord, puis de manière plus intense dans tout le premier secteur, de la ligne droite jusqu’à la chicane Daytona. Certains craquent. Brendon Hartley part à la faute à Mulsanne avec la Toyota GR010 Hybrid #8 suite à un contact avec Alessandro Pier Guidi (Ferrari 499P #51). A 16 h, c’est donc la Ferrari 499P #51 qui franchit la ligne en premier, devançant la Toyota GR010 Hybrid #7 et la Ferrari 499P #50.

LMGT3

Avec neuf marques représentées au départ de la première édition accueillant des voitures répondant au règlement LMGT3, le résultat était difficile à prédire. Plusieurs constructeurs ont tenu la tête au long de l’épreuve. McLaren, avec l’Hyperpole de la 720S LMGT3 Evo2 #70 Inception Racing de Brendan Iribe/Ollie Millroy/Frederik Schandorff pouvait répéter l’histoire (la victoire au général de McLaren en 1995 a été décrochée à l’issue d’une édition marquée par la pluie). Les #59 et #95 de l’équipe United Autosports (dont les numéros sont des clins d’œil directs à cette épopée) n’ont pas suffi.
Lexus a été très en vue, avec les RC F LMGT3 #78 et #87 Akkodis ASP Team. Une première encourageante pour la plus ancienne des GT3 au départ, dont le remplacement est prévu en 2026.
On a cru à l’exploit de Valentino Rossi, engagé sur la BMW M4 GT3 #46. Le multiple champion de Moto GP a mené la course, bien aidé par le travail de Maxime Martin, impeccable au départ. Mais Ahmad Al Harthy a perdu le contrôle de la bavaroise en sortie de stands, et a trop endommagé la voiture pour continuer. La #31 est la seule rescapée du clan WRT.
Les grands débuts des Ford Mustang ont été remarqués, Proton Competition exploitant parfaitement des voitures qu’il connaît encore peu. Il reviendra, on peut en être certain, pour gagner.
L’équipe Iron Dames a fait preuve d’une belle régularité, menant la course par moments. Mais c’est à Porsche que revient cette 92e édition. La #92 (comme un symbole) tenait la course mais a rencontré des problèmes de boîte de vitesses. La #91 a pris le relai, avec Yasser Shahin/Morris Schuring/Richard Lietz. Le rythme imposé pendant l’épreuve a repoussé l’opposition à un tour (à l’exception de la BMW M4 GT3 #31).

LMP2

Ouverte, imprévisible, la catégorie LMP2 a de nouveau été animée, avec plusieurs équipes ayant joué un rôle tout au long des 24 heures. Au départ, c’est l’Hyperpoleman Louis Delétraz sur son Oreca 07-Gibson #14 d’AO by TF qui se montre. Mais, au fil des relais de ses équipiers et selon les stratégies des autres équipes, la hiérarchie change. La #10 Vector Sport (Ryan Cullen/Patrick Pilet/Stéphane Richelmi) et la #183 AF Corse (François Perrodo/Ben Barnicoat/Nicolas Varrone) sont en pointe.
Déjà heureux et victorieux en Sarthe, Ben Keating connaît un premier relai compliqué et sort à plusieurs reprises. Associé à Filipe Albuquerque et Ben Hanley, il compose un équipage très en vue.
Le dimanche, ce sont les équipes Inter Europol Competition (avec la #34) et Cool Racing (avec la #37) qui se distinguent. Mais au damier, et pour la première fois depuis 2020, United Autosports renoue avec le succès.

Rendez-vous les 14 et 15 juin 2025 pour vivre la 93e édition des 24 Heures du Mans !

Top 5 au classement général :
1. Ferrari 499P #50 Ferrari AF Corse – Antonio Fuoco / Miguel Molina / Nicklas Nielsen – 311 tours
2. Toyota GR010 Hybrid #7 Toyota Gazoo Racing – José María López / Kamui Kobayashi / Nyck de Vries – + 14’’221
3. Ferrari 499P #51 Ferrari AF Corse – Alessandro Pier Guidi / James Calado / Antonio Giovinazzi – + 36’’730
4. Porsche 963 #6 Porsche Penske Motorsport – Kévin Estre / André Lotterer / Laurens Vanthoor – + 37’’897
5. Toyota GR010 Hybrid #8 Toyota Gazoo Racing – Sébastien Buemi / Brendon Hartley / Ryo Hirakawa – + 1’02’’824

Les vainqueurs des autres catégories :
LMP2 : Oreca 07-Gibson #22 United Autosports – Oliver Jarvis / Bijoy Garg / Nolan Siegel – 296 tours
LMGT3 : Porsche 911 GT3 R LMGT3 #91 Manthey EMA – Yasser Shahin / Morris Schuring / Richard Lietz – 280 tours

Les abandons :
• Ferrari 296 LMGT3 #54 Vista AF Corse – Thomas Flohr / Francesco Castellacci / Davide Rigon – Sortie de piste
• Alpine A424 #35 Alpine Endurance Team – Paul-Loup Chatin / Ferdinand Habsburg-Lothringen / Charles Milesi – Moteur cassé
• Oreca 07-Gibson #9 Proton Competition – Jonas Ried / Maceo Capietto / Bent Viscaal
• Alpine A424 #36 Alpine Endurance Team – Nicolas Lapierre / Mick Schumacher / Matthieu Vaxivière – Moteur cassé
• BMW M Hybrid V8 #15 BMW M Team WRT – Dries Vanthoor / Raffaele Marciello / Marco Wittmann – Accrochage
• BMW M4 LMGT3 #46 Team WRT – Ahmad Al Harthy / Valentino Rossi / Maxime Martin – Sortie de piste
• Oreca 07-Gibson #30 Duqueine Team – John Falb / James Allen / Jean-Baptiste Simmenauer (LMP2 Pro/Am) – Casse moteur
• Ferrari 296 LMGT3 #66 JMW Motorsport – Giacomo Petrobelli / Larry ten Voorde / Salih Yoluc
• Oreca 07-Gibson #45 Crowdstrike Racing by APR – George Kurtz / Colin Braun / Nicky Catsburg (LMP2 Pro/Am)
• Aston Martin Vantage AMR LMGT3 #27 Heart Of Racing – Ian James / Daniel Mancinelli / Alex Riberas – Sortie de piste
• Porsche 963 #4 Porsche Penske Motorsport – Mathieu Jaminet / Felipe Nasr / Nick Tandy – Sortie de piste
• McLaren 720S LMGT3 Evo #95 United Autosports – Hiroshi Hamaguchi / Nicolas Pino / Marino Sato
• McLaren 720S LMGT3 Evo #59 United Autosports – James Cottingham / Nicolas Costa / Grégoire Saucy
• Cadillac V-Series.R #3 Cadillac Racing – Sébastien Bourdais / Renger van der Zande / Scott Dixon – Casse moteur
• Ferrari 499P #83 AF Corse – Robert Kubica / Robert Shwartzman / Yifei Ye – Problème du système hybride

Meilleur tour en course :
Kamui Kobayashi sur la Toyota #7, 3’28’’756 (254e tour).

ACO

Circuit_24HduMans_Classement_Final_2024

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Porsche Penske Motorsport décroche l’hyperpole des 24 Heures du Mans

L’Hyperpole des 24 Heures du Mans a vu cinq constructeurs s’affronter pour décrocher la meilleure place sur la grille de la 92e édition, qui s’élancera samedi à 16 heures.

C’est Kévin Estre (Porsche 963 #6 Porsche Penske Motorsport) qui décroche l’Hyperpole, au terme d’une séance de 30 minutes qui a permis une fois encore de voir du très beau spectacle en piste. En LMP2, AO by TF est l’équipe la plus rapide grâce à Louis Delétraz. À Brendan Iribe (McLaren 720S LMGT3 Evo2 #70 Inception Racing) le meilleur temps de cette première Hyperpole de l’ère LMGT3.

Kévin Estre sur le fil
Lorsque la séance est lancée, Dries Vanthoor est le premier à prendre la piste. Comme hier lors de la séance de qualification, le pilote belge s’empresse de rejoindre l’asphalte sarthois pour bénéficier de la piste la plus claire possible. Il se lance pour son premier tour chronométré avec Antonio Fuoco (Ferrari 499P #50) à quelques encablures seulement. Sur la ligne, Vanthoor est en 3’26’’701, rapidement délogé par les deux Ferrari 499P, la #51 d’Alessandro Pier Guidi devant la #50 d’Antonio Fuoco.

Certains pilotes entament alors un deuxième tour lancé. C’est le cas pour Antonio Fuoco, qui passe en 3’25’’598, mais est dépossédé de la première place par Sébastien Bourdais (Cadillac V-Series.R #3). Le Français est en 3’25’294, au prix d’un excellent dernier secteur. Il enfonce le clou : 3’24’’816. Le public salue par des applaudissements sa performance.

Déjà auteur d’une sortie de piste à Indianapolis hier lors de la deuxième séance d’essais, Dries Vanthoor récidive. La séance est interrompue alors qu’il reste 7’41. À la relance, Sébastien Bourdais ne repart pas, son équipe décidant de ne pas aller tenter le diable. Les autres en revanche se lancent dans un tour de la dernière chance.

Dans les dernières secondes, Alex Lynn (Cadillac V-Series.R #2 Cadillac Racing) et Kévin Estre (Porsche 963 #6 Porsche Penske Motorsport) améliorent coup sur coup à l’avantage de ce dernier. Kevin Estre décroche l’Hyperpole pour la Porsche 963 #6 qu’il partage avec André Lotterer et Laurens Vanthoor.

Les résultats de l’hyperpole HYPERCAR :
1. Porsche 963 #6 Porsche Penske Motorsport – Kévin Estre* / André Lotterer / Laurens Vanthoor -3’24’’634

2. Cadillac V-Series.R #2 Cadillac Racing – Earl Bamber / Alex Lynn* / Alex Palou – 3’24’’782

3. Cadillac V-Series.R #3 Cadillac Racing – Sébastien Bourdais* / Renger van der Zande / Scott Dixon – 3’24’’816

4. Ferrari 499P #51 Ferrari AF Corse – Alessandro Pier Guidi* / James Calado / Antonio Giovinazzi – 3’25’’156

5. Ferrari 499P #50 Ferrari AF Corse – Antonio Fuoco* / Miguel Molina / Nicklas Nielsen – 3’25’’598

6. Alpine A424 #35 Alpine Endurance Team – Paul-Loup Chatin* / Ferdinand Habsburg-Lothringen / Charles Milesi – 3’25’’713

7. Porsche 963 #12 Hertz Team JOTA – William Stevens / Norman Nato / Callum Ilott – non partante

8. BMW M Hybrid V8 #15 BMW M Team WRT – Dries Vanthoor* / Raffaele Marciello / Marco Wittmann – chronos annulés

 

Delétraz contre Delétraz
Louis Delétraz (Oreca 07-Gibson #14 AO by TF) est le premier à réaliser un temps significatif en 3’35’’620. Au fil de ses passages, il améliore pour atteindre un 3’33’’994. Alors que le drapeau à damier est agité, l’Hyperpole LMP2 est décrochée par Job van Uitert (Oreca 07-Gibson #28 IDEC Sport)… mais il ne faut pas plus de trois secondes pour que Louis Delétraz reprenne son bien. Son temps final : 3’33’’217.

Deux fois deuxième de la catégorie LMP2 (en 2022 et 2023), il montre ses ambitions et sa motivation pour faire encore mieux cette année.

Les résultats de l’hyperpole LMP2 :
1. Oreca 07-Gibson #14 AO by TF – PJ Hyett / Louis Delétraz* / Alex Quinn – 3’33’’217

2. Oreca 07-Gibson #28 IDEC Sport – Paul Lafargue / Job van Uitert* / Reshad de Gerus – 3’33’’827

3. Oreca 07-Gibson #65 Panis Racing – Rodrigo Sales / Mathias Beche* / Scott Huffaker – 3’34’’053

4. Oreca 07-Gibson #23 United Autosports USA – Ben Keating / Filipe Albuquerque / Ben Hanley* – 3’34’’221

5. Oreca 07-Gibson #22 United Autosports – Oliver Jarvis* / Bijoy Garg / Nolan Siegel – 3’34’’270

6. Oreca 07-Gibson #37 Cool Racing – Lorenzo Fluxa / Malthe Jakobsen* / Ritomo Miyata – 3’34’’773

7. Oreca 07-Gibson #33 DKR Engineering – Alexander Mattschull / Rene Binder / Laurents Hörr* – 3’35’’699

8. Oreca 07-Gibson #10 Vector Sport – Ryan Cullen / Patrick Pilet* / Stéphane Richelmi – 3’35’’855

 

McLaren en hyperpole du LMGT3 pour le retour
Comme l’impose le règlement, c’est le pilote catégorisé Bronze de chaque équipage qui doit réaliser la séance Hyperpole. Parmi les huit pilotes au départ, c’est Brendan Iribe (McLaren 720S LMGT3 Evo2 #70 Inception Racing) qui offre à McLaren l’Hyperpole LMGT3 inaugurale !

La séance débute avec Aliaksandr Malykhin (Porsche 911 GT3 R LMGT3 #92 Manthey PureRxcing) devant, seul à rouler en moins de quatre minutes lors de son premier tour lancé (3’59’’695). Le deuxième passage est marqué par des améliorations. Brendan Iribe (McLaren 720S LMGT3 Evo2 #70 Inception Racing) passe en tête, suivi de Giacomo Petrobelli (Ferrari 296 LMGT3 #66 JMW Motorsport). Mais le premier nommé part à la faute à 13 minutes de la fin au niveau du raccordement, alors qu’il avait amélioré tous les secteurs. Une simple alerte. Après 30 minutes, il reste le plus rapide. Une belle performance pour la marque victorieuse en 1995 qui effectue cette année son grand retour.

Les résultats de l’hyperpole GT3 :
1. McLaren 720S LMGT3 Evo2 #70 Inception Racing – Brendan Iribe* / Ollie Millroy / Frederik Schandorff – 3’58’’120

2. Porsche 911 GT3 R LMGT3 #92 Manthey PureRxcing – Aliaksandr Malykhin* / Joel Sturm / Klaus Bachler – 3’58’’928

3. Ferrari 296 LMGT3 #66 JMW Motorsport – Giacomo Petrobelli* / Larry ten Voorde / Salih Yoluc – 3’58’’938

4. Ford Mustang LMGT3 #77 Proton Competition – Ryan Hardwick* / Zacharie Robichon / Benjamin Barker – 3’59’’443

5. Aston Martin Vantage AMR LMGT3 #27 Heart Of Racing – Ian James* / Daniel Mancinelli / Alex Riberas – 3’59’’655

6. Aston Martin Vantage AMR LMGT3 #777 D’STATION Racing – Satoshi Hoshino* / Erwan Bastard / Marco Sorensen – 4’02’’787

7. Corvette Z06 LMGT3.R #82 TF Sport – Hiroshi Koizumi* / Sébastien Baud / Daniel Juncadella – 4’03’’681

8. Lamborghini Huracan LMGT3 Evo2 #60 Iron Lynx – Claudio Schiavoni* / Matteo Cressoni / Franck Perera – 4’06’’495

Le pilote qui a effectué le temps de l’Hyperpole est signalé par une astérisque : (*)

 

L’hyperpole, un format qui souriait à Toyota
Depuis la mise en place du format Hyperpole en 2020, Toyota est le constructeur qui s’est le plus illustré dans cet exercice de recherche de la performance pure. Trois années de rang – de 2020 à 2022 – une Toyota a enlevé l’Hyperpole. D’abord avec Kamui Kobayashi (2020 et 2021) puis avec Brendon Hartley (2022). L’Hyperpole d’Antonio Fuoco en 2023 est venue briser cette série.

Cette année, pour la 92e édition, Toyota n’a pas pu se mêler à la fête. La Toyota GR010 Hybrid #8 de Sébastien Buemi/Brendon Hartley/Ryo Hirakawa n’est pas parvenue à se hisser dans les huit premiers hier soir, lors de la séance qualificative. La voiture sœur a vu elle tous ses temps être effacés comme cela est prévu par le règlement, Kamui Kobayashi causant une interruption de séance suite à sa sortie de piste au virage du Karting. La séance d’Hyperpole 2024 fut ainsi la toute première sans aucune Toyota.

ACO

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24 Heures du Mans – Journée Test

Porsche Penske Motorsport donne le tempo

Les Porsche officielles ont imprimé le rythme de cette journée d’essais des 24 Heures du Mans. Sans surprise, Toyota et Ferrari semblent également à leur aise. Les Alpine et les Peugeot ont été discrètes côté chronomètre.

Six heures, c’est le temps dont bénéficiaient les 62 concurrents ce dimanche pour mener leurs essais avant la première séance officielle mercredi. Pas de temps à perdre : il faut qualifier les pilotes débutants (ceux-ci ont dix tours à parcourir), il est temps de résoudre les derniers problèmes techniques, de faire des essais de consommation et de dégrossir les réglages de la voiture. C’est beaucoup de travail à réaliser tout en donnant du temps de roulage aux trois pilotes qui composent l’équipage, en jonglant avec les essais de procédure de sécurité prévus par les autorités sportives, et avec les éventuelles interruptions de séance.

L’ancien pilote de Formule 1 Brendon Hartley entamait l’après-midi sur un rythme soutenu (3’27’’921 dès son 1er tour lancé) au volant de la Toyota GR010 Hybrid #8. Kévin Estre (Porsche 963 #6) signait le meilleur temps provisoire deux tours plus tard en 3’26’’907. Oliver Jarvis plaçait l’Oreca #22 à l’avant du plateau LMP2 en 3’34’’704. Chez les LMGT3, la barre des 4 minutes au tour était franchie par quelques concurrents dès ce tout début de session.

Le drapeau rouge était brandi à 16 h 16 à la suite de la sortie de piste de Stéphane Richelmi dans le virage d’Indianapolis (Oreca 07-Gibson #10 Vector Sport). Pendant ce temps, l’équipe Akkodis ASP Team travaillait sur la Lexus #78, en proie à des problèmes d’embrayage. C’est plus grave encore pour l’Hypercar BMW #15 qui passe les deux premières heures d’essais immobilisée pour un changement du V8 P66/3 de la marque bavaroise, avant de prendre la piste au début de la dernière heure.

Le top 5 du classement général à l’issue de la seconde séance :
1. Porsche 963 #6 Porsche Penske Motorsport – Kévin Estre / André Lotterer / Laurens Vanthoor – 3’26’’907

2. Porsche 963 #4 Porsche Penske Motorsport – Mathieu Jaminet / Felipe Nasr / Nick Tandy – 3’27’’142

3. Toyota GR010 Hybrid #8 Toyota Gazoo Racing – Sébastien Buemi / Brendon Hartley / Ryo Hirakawa – 3’27’’615

4. Porsche 963 #5 Porsche Penske Motorsport – Matt Campbell / Michael Christensen / Frédéric Makowiecki – 3’27’’773

5. Ferrari 499P #50 Ferrari AF Corse – Antonio Fuoco / Miguel Molina / Nicklas Nielsen – 3’28’’014

Les meilleurs chronos des deux autres catégories :
LMP2 : Oreca 07-Gibson #22 United Autosports – Oliver Jarvis / Bijoy Garg / Nolan Siegel – 3’34’’704

LMGT3 : Corvette Z06 LMGT3.R #82 TF Sport – Hiroshi Koizumi / Sébastien Baud / Daniel Juncadella – 3’59’’883

Les voitures retrouveront la piste seulement mercredi, mais vous pourrez les admirer de près dès mardi lors de la visite des stands (14 heures – 18 heures, séance de dédicaces de 14 à 15 heures). Accessible avec un simple billet Enceinte générale.

ACO

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